31 octobre 2007
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10:40
Deux filages au Cormier en un Week-end et la pièce commence à prendre forme.
Il manque certains d'entre-nous et en particulier Patrice. Marc a peu de voix. Le samedi Julie n'est pas là. il essaie donc de nous diriger en douceur. Non pas que d'habitude la nervosité soit très présente, mais une sorte de langueur nous envahit dans cette grande salle, presque vide.
Les sièges des spectateurs sont presque tous vide, et nous sentons cette absence. Peu à peu le rythme s'installe, et le texte commence à défiler. Nous avons bien sûr des hésitations, mais cela vient.
La tension se ressent. J'ai parfois l'impression que les remarques des uns et des autres marquent plus une inquiétude que de vrais ressentiments. Cette période, où le spectacle est à la fois proche et lointain, m'a toujours apparu comme la plus dangereuse pour l'unité du groupe. L'humour peut vite devenir mechant... Les inimitiés de chacun doivent être mise de coté afin de faire avancer la galère dans laquelle nous nous sommes fourrés. Mais pouquoi que diable ? ...
Mais Marc est là bouillonnant d'idées. Déplaçant des combats dans l'escalier... Créant une forêt humaine, dont la brume provient de la chorale...
Sommes-nous rassurés pour autant ? Pas vraiment. Serons-nous à la hauteur du projet. N’avons-nous pas été un peu gascon sur ce coup là ?…
Il manque certains d'entre-nous et en particulier Patrice. Marc a peu de voix. Le samedi Julie n'est pas là. il essaie donc de nous diriger en douceur. Non pas que d'habitude la nervosité soit très présente, mais une sorte de langueur nous envahit dans cette grande salle, presque vide.
Les sièges des spectateurs sont presque tous vide, et nous sentons cette absence. Peu à peu le rythme s'installe, et le texte commence à défiler. Nous avons bien sûr des hésitations, mais cela vient.
La tension se ressent. J'ai parfois l'impression que les remarques des uns et des autres marquent plus une inquiétude que de vrais ressentiments. Cette période, où le spectacle est à la fois proche et lointain, m'a toujours apparu comme la plus dangereuse pour l'unité du groupe. L'humour peut vite devenir mechant... Les inimitiés de chacun doivent être mise de coté afin de faire avancer la galère dans laquelle nous nous sommes fourrés. Mais pouquoi que diable ? ...
Mais Marc est là bouillonnant d'idées. Déplaçant des combats dans l'escalier... Créant une forêt humaine, dont la brume provient de la chorale...
Sommes-nous rassurés pour autant ? Pas vraiment. Serons-nous à la hauteur du projet. N’avons-nous pas été un peu gascon sur ce coup là ?…