1 novembre 2008
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La bataille de Pavie représente un glorieux mais rude événement des guerres d'Italie : l'armée française assiégea la
ville
, après avoir chassé de Provence le connétable de Bourbon
et investi Milan. Après quatre mois de siège, la ville était près de tomber, mais résistait néanmoins vaillamment.
Au dernier moment survint Lannoy, vice-roi de Naples, avec une armée de secours qui assiégea à son tour François 1er, dont les vieux capitaines, La Trémouïlle et La Palice, conseillaient la prudence, à l'inverse de Bonnivet et Montmorency qui voulaient "faire la guerre à belles enseignes découvertes". Ces derniers résussirent à convaincre le roi.
Les impériaux furent d'abord écrasés par l'artillerie de Galiot de Genouillac, mais le roi en chargeant avec la cavalerie, empêcha l'artillerie de continuer son feu. Les impériaux reprirent l'offensive, enveloppèrent la cavalerie... et le désastre commença, François 1er s'obstina, la Trémoille et La Palice moururent à ses cotés et deux heures plus tard, il devait rendre son épée à Lannoy. L'armée française eut 10 000 tués.
Le roi annonça lui-même "son malheur" à sa mère, Louis de Savoie : "de toutes choses ne m'est demeuré que l'honneur et la vie sauve. Puis il se constitua prisonnier.

Au dernier moment survint Lannoy, vice-roi de Naples, avec une armée de secours qui assiégea à son tour François 1er, dont les vieux capitaines, La Trémouïlle et La Palice, conseillaient la prudence, à l'inverse de Bonnivet et Montmorency qui voulaient "faire la guerre à belles enseignes découvertes". Ces derniers résussirent à convaincre le roi.
Les impériaux furent d'abord écrasés par l'artillerie de Galiot de Genouillac, mais le roi en chargeant avec la cavalerie, empêcha l'artillerie de continuer son feu. Les impériaux reprirent l'offensive, enveloppèrent la cavalerie... et le désastre commença, François 1er s'obstina, la Trémoille et La Palice moururent à ses cotés et deux heures plus tard, il devait rendre son épée à Lannoy. L'armée française eut 10 000 tués.
Le roi annonça lui-même "son malheur" à sa mère, Louis de Savoie : "de toutes choses ne m'est demeuré que l'honneur et la vie sauve. Puis il se constitua prisonnier.