16 janvier 2008
3
16
/01
/janvier
/2008
07:47
"Les romains durent leurs conquêtes au maniement des armes, à la pratique de l'escrime. Les doctores armarum enseignaient les armes aux soldats. Ces maîtres d'armes étaient
fort considérés et faisaient parfois l'objet de hautes distinctions".
Source : l'escrime de Maître Clery.
Les romains utilisaient surtout des armes d'hast pour attaquer. Les principales armes offensives sont le pilum, la lance romaine, qui donneront par la suite la Hallebarde du Moyen
Age.
Pour se défendre les soldats avaient un bouclier carré légèrement incurvé.
Leur épée (glaive) frappe d'estoc et de taille, mais les romains portaient surtout des coups de pointe car ils étaient jugés "plus meurtriers et exposent moins que les coups de
tranchant".
Des écoles d'escrime spéciales organisaient des jeux de cirques qui connurent une grande vogue sous l'empire. Les combats opposaient en duel des rétiaires et des mirmillons.
Du Rire Aux Lames
-
dans
Séraphin
14 janvier 2008
1
14
/01
/janvier
/2008
17:33
Du Rire Aux Lames
-
dans
Séraphin
13 janvier 2008
7
13
/01
/janvier
/2008
00:00
Comment s'appelle le maître d'Armes associé par Platon à son frère Euthydème. Il les raillait en disant qu'ils étaient "maître en tout..."
Bonne recherche.
Du Rire Aux Lames
-
dans
jeu Séraphin
12 janvier 2008
6
12
/01
/janvier
/2008
00:00
Les premiers jeux olympiques, en 776 av JC, inclurent l'escrime ou l'hoplomachie (combat à armes, seul à seul)

dans leur programme. A Athènes, elle fut très en faveur au Ve siècle av J.C. : des maîtres se faisaient payer pour enseigner la
manière de combattre, tels les frères Euthydème, escrimeurs et sophistes, habile dans le combat en arme et dans la joute oratoire, raillés par Socrate commle rapporte Platon dans Euthydème.
Plus tard les Hoplomachès (ou maître d'armes) furent rétribués par les gymnases, qui organisèrent des concours pour les hommes et les enfants. Leur enseignement se permétua à Sparte , même en
temps de domination romaine.
Source : En garde du Maître Lacaze
Platon
Du Rire Aux Lames
-
dans
Séraphin
11 janvier 2008
5
11
/01
/janvier
/2008
07:22
Que vous souhaitez pour 2008 si ce n'est que les épées se croisent pour le plaisir des yeux?
La santé surement, du bonheur au quotidien, de bons petits plats, des fous rires et de nouveaux projets en commun?
En attendant, je vous transmets mes amitiés.
Cécile
9 janvier 2008
3
09
/01
/janvier
/2008
22:35
Il est des spectacles auxquels il me semble indispensable que nous soyons le plus nombreux possible. Et parmi ceux-ci, il en est qui me parait être le plus important, même si nous avons
le sentiment parfois d'y être moins indispensable que d'autres.
Le son et lumière de la montagne aux sept sources est un moyen, noble de casser les barrières qui existent si fortement entre nous. Tous ceux qui sont présents depuis le début, ou
depuis longtemps peuvent vous dire combien sont précieuses des salutations échangées sur un quai de gare, un sourire remerciant notre raccompagnement en voiture, et même des moments de
vie partagée simplement.
être sur la même scène, c'est une façon de partager le même coin et d'en aplanir les angles. C'est pourquoi je crois que toutes les belles héroïnes, tous les mousquetaires dans l'ame, tous les
chevaliers rêveurs, et tous ce que vous ... devront s'investir sans retenu dans le son et lumière.
Nous ne pourrons jamais rendre ce que la montagne nous a apporté, en étant à l'origine de nos amitiés d'armes, en nous prétant régulièrement des accessoires, en nous mettant en contact avec
nos premiers "producteurs.
C'est pourquoi, j'espère que nous serons le plus possible vendredi soir à l'AG de la Montagne aux sept sources, et que j'en fais du son et lumière la première priorité.
Ceux qui ne pourront être de cette nouvelle aventure, le seront de coeur et nous ne nous leur en voudrons pas.
Pascal
N'hésitez pas à commenter.
www.montagne7sources.com/
Du Rire Aux Lames
9 janvier 2008
3
09
/01
/janvier
/2008
06:27
Une salade est un casque de forme ronde, porté du XVe siècle au XVIe siècle. Le mot vient du bas-latin caelum, qui signifie « ciel », « coupole », et qui a donné le vieil italien celata, francisé
en salade. Il s'agit d'une évolution du « chapel de fer » qui eut lieu pendant la première moitié du XVe siècle (à ne pas confondre avec la barbute, parfois appelée « salade italienne », bien
qu'elle soit essentiellement une variante du bassinet).
La coupole de la salade finit sur l'arrière en une queue qui s'allongeat au fil du siècle. Certaines salades étaient équipées d'une visière, et d'autres une simple fente s'ouvrant sur l'avant du
casque. Une autre variante laissait le visage entièrement sans protection. Il existait une protection pour le menton qui pouvait être portée avec la salade, mais elle était d'usage rare parce
qu'elle génait la respiration et les mouvements de la tête. La salade était certainement le type de casque le plus répandu durant la dernière partie du XVe siècle, et était en usage chez les
cavaliers comme chez les fantassins. Pendant le XVIe siècle, elle donna naissance à la bourguignotte.
Voilà la réponse de Martine qui a été la première (3 points), puis Julie (2 points) et enfin Isabel (1 point). Bravà à toutes les trois.
Du Rire Aux Lames
-
dans
jeu Séraphin
8 janvier 2008
2
08
/01
/janvier
/2008
14:55

Bonjour bonjour à tous les
escrimeurs
Je me fends d'un billet pour vous adresser tous mes voeux de bonheur pour cette nouvelle année.
Je volte, et à chacun je fais un bisous.
Plein de bonnes choses à vous,
à bientôt,
Ju
En attendant mieux la carte préparée par Milady
picasaweb.google.com/3mousquetairescormeilles/VoeuxDeMilady
8 janvier 2008
2
08
/01
/janvier
/2008
07:38
Notre romain François utilise un glaive lors de Séraphin. Voilà ce qu'en dit Wikipédia :
Gladius est un terme latin pour
épée. Il est de nos jours utilisé pour désigner une
épée courte, de
60 cm de long, de 4cm de large, et d'environ 1,4 kg, utilisée par les
légionnaires romains à partir du
IIIe siècle
av. J.-C. Elle dérivait de l'épée
celtibère et conçue pour délivrer
principalement de puissantes frappes d'estoc. le glaive était large pour que les blessures infigées soit les plus larges possibles et donc aient un aspect psychologique sur l'adversaire.
Le glaive romain, arme emblèmatique du légionnaire romain, est inspiré du gladius hispanis. Evoluant, au fil des siècles, il deviendra la spatha romaine en passant par le glaive
pompéi
L'escrime romaine, également appellée hoplomachie se constitue principalement à l'aide d'un bouclier , le scutum, et d'un glaive; La taille du glaive évoluant, il atteint les 50-60 cm. Plus le
glaive est court, moins le légionnaires doit armer de coups et plus vite il peut frapper.
Au moment de la frappe, le glaive doit être placé derrière le bouclier pour mettre un appui suplémentaire et donc que la position du bouclier soit plus stable et également pour que l'adversaire
ne sache pas quand et où sera porté le coup.
Du Rire Aux Lames
-
dans
Séraphin
7 janvier 2008
1
07
/01
/janvier
/2008
00:00
L'art de combattre en Grèce Antique.
L'escrime reposé certainement sur des couts de chocs, plus que des coups de taille et encore plus des coups d'estoc. Le bouclier, surtout du premier rend des combattants, permettait de
pousser l'adversaire (othismos aspidon). Certains considèrent que c'était certainement à l'époque le meilleur moyen de prendre le dessus définitvement sur l'adversaire. Le bouclier ne servirait
donc pas seulement à se protéger mais était une arme redoutable.
La lance ( dorathismos ) présentait certainement son intérêt, mais elle pouvait se révéler fragile. Elle portait assurément des coups d'estoc (de pointe). Enfin l'épée (proche du glaive romain)
courte, était certainement l'arme la plus dangereuse à utiliser. Elle exposait le guerrier.
L'homoplachie (l'art de combattre) en Grèce semblait donc mettre l'accens sur les mouvements de groupe, l'art du bouclier pour faire une percée dans les lignes ennemies . Nous étions donc
certainement plus dans un enseignement améliorant la force collective.
Du Rire Aux Lames
-
dans
Séraphin