1 octobre 2007
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15:28
hier la journée a été très productive ?

Nous avons répêté de 10h00 à 18h00 hier à Maurice Berteaux. Cerrtains ont découverts Patrice Vion qui jouera d'Artagnan. Sa présence précise les choses.
Avec Abigael et bien sûr Julie, la troupe du Favier Théâtre se retrouve.
J'ai l'impression que la date approche et que nous devenons peu à peu plus concentrés, plus tendus.
Marc nous a demandé de savoir nos textes sans feuille... Certains le savent déjà parfaitement bravo à eux.
La grande scène de la Merlaison a été longtemps travaillée. Elle apparaît impréssionnante en terme de mise en scène. Plusieurs espaces sont utilisés dans le mêmes temps et les situations se
répondent...
Sous la férule de Didier et de Nicolas, Jean Pierre, Laurent, Abigaël dans l'ordre chronologique ont précisé leur combat.
Le projet des trois mousquetaires nous aura permi de mettre des Rapières dans la main de néophites. J'aime voir ainsi les premières hésitations se tranformer en coups plus assurés. Souvent les yeux
brillent. L'accessoire qu'est la rapière, transporte ses adeptes dans des rêveries.
Enfin pour nous soutenir nous avons pu apprécier les coockies d'Abigaël, un gâteau de Monique et du café. Ceux de Françoise et de Patrice valent bien des déplacements (d'escrimeurs bien sûr).
N'hésitez pas à réagir.
25 septembre 2007
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À la journée du patrimoine
Porthos et Aramis se sont battus. Mais qui est ce Porthos.
Pour Dumas "
Porthos ... non seulement parlait beaucoup mais il parlait haut ; peu lui importait le reste, il faut lui rendre cette justice, qu'on l'écoutat ou non; il parlait pour le plaisir de
parler et pour le plaisir de s'entendre; il parlait de toutes choses excepté de sciences, excipant à cet endroit de la haine invétérée que depuis son enfance il portait, disait-on, au savant".
Il était moins grand qu'Athos, et le sentiment de son infériorité à ce sujet l'avait, dans le commencement de leur liaison, rendu souvent injuste pour ce gentilhomme qu'il s'était alors effacé de
dépasser par ses splendides toilettes.
Porthos remplissait l'anitichambre de M de Tréville et les corps de garde du Louvre du bruit de ses bonnes fortunes... et pour le moment, après avoir passé de la noblesse de robe à la
noblesse d'épée, de la robine à la baronne, il n'était question de rien de moins pour Porthos que d'une princesse étrangère qui lui voulait du bien."
Et c'est pour un beau mot sur Sa majesté qu'il va devoir affronter Aramis dont nous écrirons demain.
En France sous l'Ancien Régime, la
noblesse de robe rassemblait tous les nobles qui occupaient des fonctions de gouvernement et de justice, principalement dans la justice
et les finances. Ces personnes devaient, notamment dans le cas des juristes, avoir fait des études universitaires et donc revêtir la robe ou toge des gradués de l'université. Ils furent surnommés
robins, hommes de robe, et le groupe noble qu'ils formaient "noblesse de robe".
L'expression de "noblesse de robe" s'oppose à celle de "
noblesse d'épée", c'est-à-dire aux nobles occupant les traditionnelles fonctions militaire de leur groupe social. Souvent,
on rattache la noblesse de robe à la noblesse récente (créée depuis le XVIe siècle) et la noblesse d'épée à la noblesse d'extraction (c'est-à-dire sans trace d'annoblissement), mais ce rattachement
est parfois abusif.
23 septembre 2007
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Cormeilles, le 15 septembre,

Les clowns ont pris
la leçon devant les spectateurs du théâtre du cormier sous la férule de maître Didier. Après un échauffement libre celui a tenté de leur apprendre les rudiments de l'escrime.
Les positions de garde étaient diverses comme vous pouvez le voir sur la photo. Après s'être tordu la cheville, La clown Françoise a bu de la potion magique ce qui l'a rendu presque
invicible... Et très dangereuse
Heureusement alors qu'elle allait fondre sur le public, la clown Pierrette l'arrêta avec son fleuret sonnant. La clown Françoise se retrouva terrasser les effets de la potion ayant disparu.
Les autres clows (Martine, Isabelle, Laurent et François) , courageusement , en profitèrent pour se jeter sur elle. À la fin du combat il ne resta de la clown Françoise que son nez -
rouge - . Nez que le clown François armé de son balais, fit sortir de scène sous les applaudissements du public.
Cette première collaboration entre les troupes
de l'autre coté du Mirroir et
du rire aux lames en appelle d'autres. Ce fût un plaisir partagé , en espérant
que ce le fût aussi, pour le public.
21 septembre 2007
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En plein action, Rapière et Dague, menace tête pour la
première, tierce haute pour la seconde.
Il a un baudrier, comme Porthos mais en moins clinquant. Sa casaque est brodée de rouge. Ses bottes sont même recouverte d'un carré de cuir.
La reproduction semble très bien faîte, qui a des figurines et pourrait m'envoyer des photos.
N'hésitez pas.
16 septembre 2007
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21:11
Journée du patrimoine et répétition.

Week end intensif pour les
participants aux spectacles des trois mousquetaires. Les clowns de l'autre coté du miroir ont présenté deux fois leur leçon. Très réussit, vous aurez plus de détails dès que nous avons des
photos.
Marc a animé des répétitions ouvertes, l'orchestre du club musical s'est taillé un franc succès.
Les mousquetaires de Du Rire Aux Lames ont étraîné leur nouvelle animation qui permet aux enfants de devenir mousquetaires. Là encore j'attends des photos.
Aujourd'hui nous avons répêté les actes III et IV. Le spectacle prend forme. Chacun trouve se place peu à peu. Nous attendons avec impatience les premiers filages. Les personnages prennent vie peu
à peu. Ils se dotent de sentiments, la pression semble monter un peu. La bonne humeur est toujours là.
Ces moments de regroupement que sont les répétitions sont agréables. Ce sont des espaces de temps où les différences semblent ne plus éloigner...
9 septembre 2007
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19:14
Samedi prochain (15 septembre) entre 14h00 et 18h00, le maître Didier donnera leur troisième leçon à Martine, Pierrette, françoise, François, Laurent .
Elle s'annoce palpitante et sera visible par tous au théâtre du cormier entre 14h00 et 18h00. La deuxième leçon a eu lieu ce matin. Peu de blessés à déplorer. Les participants ont certainement
découvert des passes inconnues jusqu'à lors.
Certains demandent un contrôle antidopage...
Affaire à suivre,
N'hésitez pas à commenter.
8 septembre 2007
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10:32
Nous y serons tous.

Venez nous voir au Salon des associations, salle Emy lès prés à Cormeilles aujourd'hui et demain de 13h30 à 18h00.
Il y aura un stand 3 mousquetaires, où vous pourrez saluer Marc demain, et Cécile aujoud'hui. Vous verrez de l'autre coté du miroir, jeune pousse... et nous sur le stand escrime. Vous pourrez même
vous inscrire pour l'année prochaine.
Le cours reprennent jeudi de 19h30 à 20h30 pour les débutants et vendredi de 20h30 à 22h30.
à bientôt.
Pascal.
3 septembre 2007
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Athos, qui est-il ?
Dans la scène 7 de l'acte Iv, Athos se dévoile, mais le fait-il réellement ? Vendredi soir dernier, nous avons travaillé la scène de deux manières différentes.
La première sous la direction de Marc : un Athos dont la haine est si grande qu'il ne s'emporte pas. Les mots lentement illustrent une colère froide.
La seconde en combattant avec Milady : les mots répondent au combat entre les deux anciens amants. Chacun a apporté ses conseils pour commencer à monter le combat. Didier, en plus
prenait des notes indiquant chaque phrase d'armes.
Athos est surprenant comme tous les personnages de Dumas. Avant que le roman ne commence, il a tué Anne de Breuil (Milady) simplement parce que celle-ci l'avait doublement trompé,
portant une flétrissure sur l'épaule. Mais elle n'avait pas tué.
Puis dans la scène évoquée ci-dessus, il sait que celle-ci a été violée par D'artagnan, "
un ami qu'il aime et qu'il défend"" Est-ce un moyen de se venger par personne interposée ? À la fin
de la scène, il pourrait lui faire "
sauter la cervelle" mais il lui laisse la vie sauve partant sur un simple
"Mord si tu peux".
Aurait-il pardonné ? Faut-il croire qu'il s'en veut de l'avoir pendue lorsqu'il dit "
quoique que ce soit chose dévorante parfois qu'un souvenir" ?
Et à la fin de la pièce, il refuse qu'elle soit tuée sans jugement, même s'il prévoit certainement l'issue de ce jugement.

Julie et Didier à la fin de la répétition.
2 septembre 2007
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09:44
Le programme se précise.
L'après midi du 15 septembre au théâtre du Cormier s'annonce bien même si certains évènements ont du être annulés. Il n'y aura pas de film projeté le samedi soir. Dommage car
est-ce que les trois mousquetaires seraient ce qu'ils sont sans le cinéma ? (
(voir la partie du blog sur les 3 mousquetaires au cinéma).
Il n'y aura pas de conférence, c'est encore plus dommage, mais rien ne nous empèche de lire (
le blog va bientôt vous présenter le livre passionnant d'Odile Bordaz).
MAIS il y aura bien :
- de 14h00 à 18h00 :
- sous la houlette de Marc FAVIER et de Julie LE GALADEC
- des scenettes présentées par l'association de
l'autre coté du mirroir
- des scenettes ou des lectures présentées par les
jeunes pousses
- des ateliers escrime mousquetaires et des combats présentés par
du Rire aux Lames.
- de 18h00 à 20h00 :
- des matchs d'improvisations présentés par l'IDRAC.
Pour en savoir plus allez sur le site (profitez-en pour vous abonnez à la newsletter culturelle de la ville si ce n'est pas déjà fait) :
www.ville-cormeilles95.fr
réservez votre Week-End car il se passera aussi bien d'autres choses...

Et réservez vos places au
théâtre pour la saison 2007-2008 sutout les 9, 14 15 16 décembre 2007 :
31 août 2007
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Les trois mousquetaires ont revu Marc et Julie.
Hier à Maurice Berteaux :
Avec plaisir, même si nous ne sommes pas revenus de l'autre monde comme Athos lorsqu'il se dévoile à Milady. Nous avons surtout travaillé l'acte V. Julie est brillante lorsqu'elle tombe à genoux,
ce qui se produit de nombreuses fois.
Quelques problèmes techniques restent en suspend, comme faire passer la rivière finale dans le théâre du Cormier, mais nous faisons confiance à Marc pour trouver une solution.
Cela continue ce soir, peut-être avec un tout petit peu plus de sérieux.
à suivre.
Pascal