13 juin 2008
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Vers 1530 l'épée à deux mains appelée aussi espadon, est utilisée aussi
vers la fin du XIVe siècle. Elle est maniée par des fantassins spécialement entraînés. Les moulinets de sa longue lame à double tranchant droite ou ondulée (le mot employé dans ce cas est
"flamberge"). L'arme peut également être utilisée comme une pique ou une hallebarde lors d'une charge. Dans ce cas le guerrier peut placer sa seconde main sur la parie forte de la lame (ou
ricasso), non aiguisée, protégée en cette occasion par des triangles nommées oreillons.
Cette arme pouvait aussi être utilisée par des civiles. Rabelais mentionne que des étudiants toulousains ont utilisé cette arme lors de violence. Cette arme est l'arme privilégiée des premiers maîtres d'armes.
Cette épée est l'arme des soldats d'élite. Mais son rôle militaire disparut dans la seconde moitié du XVIe siècle et au XVIIe siècle. Sa fonction devint alors cérémonielle. Les gardes des princes la portaient afin d'affirmer symboliquement leur pouvoir. Les quillons sont souvent complétées d'un pas d'âne.
Flamberge du musée de Dresde en photo
Cette arme pouvait aussi être utilisée par des civiles. Rabelais mentionne que des étudiants toulousains ont utilisé cette arme lors de violence. Cette arme est l'arme privilégiée des premiers maîtres d'armes.
Cette épée est l'arme des soldats d'élite. Mais son rôle militaire disparut dans la seconde moitié du XVIe siècle et au XVIIe siècle. Sa fonction devint alors cérémonielle. Les gardes des princes la portaient afin d'affirmer symboliquement leur pouvoir. Les quillons sont souvent complétées d'un pas d'âne.
Flamberge du musée de Dresde en photo