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27 juillet 2008 7 27 /07 /juillet /2008 00:01
A quelle heure aura lieu le premier match d'escrime aux JO de Pekin ? C'est la question de ce dimanche qui se rapproche des échéances...

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26 juillet 2008 6 26 /07 /juillet /2008 06:39
Plutôt qu'une expression du samedi, voici l'origine d'un mot qui est évoqué dans le roman, le dernier des templiers.

La plupart disent que le mot "Assassin" vient de haschich qui en fait en arabe donnait (au temps des Croisades) 'haschichin' (orthographe à revoir !). L'histoire officielle a retenu que certains combttants s'appelaient "les Assassins du Vieux sous la Montagne".
Cependant, d’autres disent que "Assassins" ne provient pas de Hashish, mais d'un mot arabe qui veut dire "qui a la foi" mais ce mot serait plutôt "fida'i" dont ils s'affublaient aussi, comme de nombreux terroristes a tendance islamique (cf les "fedaikin" au Liban pendant la guerre).
D’autres encore considèrent que "Haschichin" provient de l'arabe et signifie mangeur de haschich, ou qu'il provient d'un terme perse signifiant "les sauvages".

Et enfin, la dernière hypothèse est que le nom d'assassins leur a été donné par les Templiers, qui auraient mal compris le nom arabe. La source serait double :
  • Haschich --> Haschinjin --> Assassins
  • Hassan --> Hassanjins (les Djiins d'Hassan) --> Assassins

Toujours est-il que ce terme devait être péjoratif. D'abord parce que les Nizarites ne devaient sûrement pas apprécier de voir leur activité religieuse et mystique réduite à cette pratique. Au demeurant, les divers mouvements soufis ont souvent fait usage de psychotropes pour atteindre l'extase. Nizarite fait référence au "Mahdi occulté", mais il y a d'autres termes qui les désignent.
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25 juillet 2008 5 25 /07 /juillet /2008 06:47
Un roman policier et d'aventure, pour ceux qui ont aimé le Da Vinci Code. Agréable à lire, en particulier dans le train ou sur la plage. Quelques passages philosophiques par trop compliqués, pas trop philosophiques non plus et des rapprochement historique certainement discutable.

Voilà ce qu'en dit Amazone :
Présentation de l'éditeur
Grande soirée de vernissage au Metropolitan Museum de New York, où sont présentés les fabuleux trésors du Vatican. Soudain, chevauchant de front, quatre cavaliers en costume de Templiers sèment l'apocalypse parmi les robes longues et les smokings. En quelques minutes, l'exposition vire au carnage. Réfugiée derrière une vitrine, Tess, une brillante archéologue, assiste au pillage. Très vite, elle a le sentiment que ces cavaliers, qui ont disparu dans les ténèbres de Central Park, loin d'être de simples criminels, ont un lien avec la véritable histoire des Templiers. Seul Sean Reilly, un agent du FBI, fait confiance à l'intuition de la jeune femme. Ensemble, ils vont enquêter sur le mystère des Templiers. Ces moines-soldats ne détenaient-ils pas un secret qui, dévoilé, aurait pu faire chuter le Vatican, l'Eglise et la chrétienté tout entière ? Tess et Reilly n'auront que quelques jours pour découvrir ce secret avant que d'autres ne s'en emparent... La puissance du premier roman de Raymond Khoury naît de la confrontation entre une enquête en état d'urgence et la force de l'Histoire. Déjà plus de trois millions de lecteurs dans le monde ont été fascinés par ce roman au souffle rare, où le mystique rejoint le mystérieux.

Biographie de l'auteur
Né en 1960 à Beyrouth, Raymond Khoury quitte son pays en 1975, au début de la guerre civile, pour étudier à New York. Quand il retourne au Liban, c'est pour y devenir architecte, dans l'espoir d'aider à la reconstruction de sa ville natale. Cependant, en 1984, la guerre s'intensifiant, il émigre à Londres, change de voie et fait une brillante carrière dans la finance... où il s'ennuie terriblement. Il se lance alors dans le métier de scénariste, notamment pour la célèbre série MI-5 sur les services secrets britanniques. En 1996, il écrit Le Dernier Templier et se voit proposer par une prestigieuse maison d'édition américaine un contrat en or qu'il refuse parce qu'on lui demande d'en faire un simple roman d'aventures en excluant toute allusion à la religion. Le manuscrit dort dans ses tiroirs jusqu'en 2005, date à laquelle un éditeur s'enthousiasme et le publie. Aujourd'hui, Le Dernier Templier est un best-seller mondial et Raymond Khoury écrit son deuxième roman.

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24 juillet 2008 4 24 /07 /juillet /2008 06:42
Nommé Lieutenant-Général du Dauphiné par François Ier , Bayard assura la gouvernance de la province, puisque, selon la coutume, le gouverneur en titre -qui était alors le duc de Longueville- ne s'occupait nullement de sa province.
Bayard fut acclamé le 17 mars 1515, lors de son entrée dans Grenoble, heureuse de recevoir l'illustre chevalier. Bayard repartit à Marignan en juillet. La victoire lui permit de séjourner par la suite un peu plus longuement dans son gouvernement de Dauphiné, non sans devoir à plusieurs reprises repartir en campagne en Italie ou dans le nord de la France à la demande du Roi. Bayard prit très à cœur ses fonctions et s'acquit de nouveaux titres à la reconnaissance publique. Trois domaines retinrent spécialement son attention: la peste, les inondations et les brigands.
En 1521, il défendit Mézières assiégée par les troupes allemandes de Charles Quint.
Il fut grièvement blessé sur le front milanais. Il dit à ses compagnons : « Je n'ai jamais tourné le dos devant l'ennemi, je ne veux pas commencer à la fin de ma vie. »
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23 juillet 2008 3 23 /07 /juillet /2008 06:38
Devenu roi le 1er janvier 1515, François Ier manifeste dès le 20 janvier 1515 son intérêt pour Bayard en le nommant lieutenant général du Dauphiné . L'épisode célèbre de son adoubement par lui se situe quelques mois plus tard.
À Marignan, au soir de la victoire, pour le « grandement honorer », François Ier voulut prendre « l'ordre de chevalerie de sa main ». C'est ainsi que le lendemain matin, le 15 septembre 1515, les compagnies d'ordonnance furent rassemblées. François Ier, alors âgé de vingt ans, se serait fait adouber chevalier par celui qui réalisait le mieux aux yeux de tous l'idéal de courage et de loyauté que se fixèrent les preux du Moyen Âge.
Malheureusement pour la légende, cet événement est seulement rapporté des années plus tard, en 1525, dans un ouvrage dont le but politique est avoué (rendre à la royauté plus de valeur, elle qui subit la défaite de Pavie). De même tous les documents s'y rapportent datent de 1539 et au delà.

Même si la legende est difficile à vérifier, elle est belle.
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22 juillet 2008 2 22 /07 /juillet /2008 06:00
En avril 1507, toujours sous le règne de Louis XII, il força le passage des Apennins devant Gênes et prit la ville, qui venait de se soulever. Cette victoire fut l'occasion d'un éblouissant défilé de troupes françaises en présence du Roi, le 20 avril 1508. Une rutilante miniature de Jean Bourdichon a immortalisé cet instant.
Début mai 1509, Bayard et ses troupes prirent Treviglio, au sud de Bergame, entre Milan et Brescia. Le 14 mai 1509, Bayard s'illustra encore, à Agnadel cette fois (au sud de Bergame, près de Crémone), victoire qui ouvrait à Louis XII les portes de Venise. Une victoire acquise dans un bain de sang : 14 600 morts, qu'une Chapelle des Morts ainsi qu'une stèle commémorative rappellent encore aujourd'hui. Le Roi venait précisément d'octroyer à Bayard les fonctions de capitaine, grade habituellement réservé aux puissants nobles du royaume. Généralement, les troupes étaient commandées par le lieutenant. Le capitaine, un notable, étant rarement présent sur le champ de bataille.
De août à septembre de la même année eut lieu le siège de Padoue. Bayard était alors en garnison à Vérone. Il attaqua quatre garnisons vénitiennes qui protégeaient la porte de Vicence. Il tenta en 1510 d'enlever le pape Jules II, qui s'était retourné contre les français, ses anciens alliés.
En 1512, après avoir pris Bologne, il assiégea Brescia en février. Le 19, il y fut gravement blessé d'un coup de pique dans le haut de la jambe2. Recueilli par un gentilhomme, il lui sauva sa demeure du pillage et sa femme du déshonneur.
Vite remis, il s'illustra à nouveau, à Ravenne cette fois, lors du délicat retrait des troupes françaises. Son compagnon d'arme, Gaston de Foix, mourra l'arme à la main, ce soir du 11 avril 1512, à seulement 23 ans.
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21 juillet 2008 1 21 /07 /juillet /2008 06:56
En 1504, la retraite des troupes françaises hors du royaume de Naples allait servir de théâtre à l'un de ses plus hauts faits d'armes. Le Garigliano, fleuve héritier de l'antique Liri, qui se jette dans la Méditerranée au nord de Naples faisait séparation entre Français et Espagnols. L'ordre fut donné par le marquis de Gonzague, général en chef des troupes du Roi de France, d'envoyer un échelon de reconnaissance pour franchir le fleuve sur un pont de bateaux rapidement lancé. Averti au dernier moment, Bayard, se joignit au petit groupe d'éclaireurs en simple pourpoint, sans avoir pris le temps d'enfiler sa cuirasse et son casque. Rapidement, les trois ou quatre cents Français et Suisses ayant franchi le Garigliano furent débordés par les 1 500 hommes appuyés d'artillerie que lança contre eux Gonzalve de Cordoue. L'armée française dut battre en retraite. Le pont, fort étroit, imposait aux Espagnols de se présenter un à un devant Bayard, resté seul à l'arrière-garde. La vaillance, l'adresse et l'endurance de Bayard firent merveille. « Comme un tigre échappé », dit Théodore Godefroi, « il s’accula à la barrière du pont et à coups d’épée se défendit si bien que l’ennemi ne pouvait discerner s’il avait affaire à un homme ou au Diable. Cette belle action lui mérita pour devise un porc-épic, avec ces mots : Vires agminis unus habet ». Il fallut toute la persuasive ardeur de ses compagnons pour qu'il en laisse quelques-uns prendre le relais : le père de Brantôme et le capitaine Ymbault de Rivoire. Ce dernier, un Dauphinois, seigneur de Romagnieu, excita l'admiration des habitants de Lyon, ville dans laquelle il demeurait. La ruelle qui desservait sa maison porte encore le nom qui lui fut alors donné de Montée du Garillan. C'est finalement l'artillerie française, mise en batterie sur la rive opposée, qui contraignit les Espagnols à prendre le large et mit fin à la bataille.
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20 juillet 2008 7 20 /07 /juillet /2008 00:00
Quel est le premier ou la première chinoise médaillé(e) aux jeux olympiques en escrime. Cela sera la question du dimanche.

Il n'est jamais trop tard pour participer...
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19 juillet 2008 6 19 /07 /juillet /2008 06:11
 cette expression du samedi ne peut jamais nous être appliquée. Elle désigne des discussions oiseuses et stériles. On raconte qu'au moment ou Constantin DRAGASES (1405 - 1453), dernier successeur de l'enpereur Justinien, défendait Bizance contre le sultan ottoman Mehmed II et que celui-ci était arrivé sur les remparts mêmes de la ville, les moines de Bizance, eux, se livraient à de vifs débats sur des questions de théologie et de discipline...

On parle aussi de querelles bizantines.
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18 juillet 2008 5 18 /07 /juillet /2008 07:07
Très sympa voici ce qu'en dit la fnac

En 1663, Louis-Henri de Montespan, jeune marquis désargenté, épouse la somptueuse Françoise « Athénaïs » de Rochechouart. Lorsque cette dernière accède à la charge de dame de compagnie de la reine, ses charmes ne tardent pas à éblouir le monarque – à qui nulle femme ne saurait résister. D’époux comblé, le Montespan devient alors la risée des courtisans. Désormais, et jusqu’à la fin de ses jours, il n’aura de cesse de braver l’autorité de Louis XIV et d’exiger de lui qu’il lui rende sa femme.
Lorsqu’il apprend son infortune conjugale, le marquis fait repeindre son carrosse en noir et orner le toit du véhicule d’énormes ramures de cerf. La provocation fait scandale mais ne s’arrête pas là. Le roi lui a pris sa femme, qu’à cela ne tienne : il séduira la sienne. Une fois introduit dans la chambre de la reine, seule la laideur repoussante de celle-ci le fera renoncer à ses plans. À force d’impertinences répétées, l’atypique, facétieux et très amoureux marquis échappera de justesse à une tentative d’assassinat, puis sera exilé sur ses terres jusqu’à sa mort. En ayant porté haut son indignation, y compris auprès du pape, le marquis de Montespan fut l’une des premières figures historiques à oser contester la légitimité de la monarchie absolue de droit divin. Il incarne à lui seul l’esprit révolutionnaire qui renversera un siècle plus tard l’Ancien Régime.
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